Petits Notes : Cette page est consacrée à quelques essais portant sur ...... Désolé, je n'ai pas pour le moment chosi des sujets sur lesquels j'écrirais chaque fois de petites phrases.
J'aimerais adapter l'objet de cette partie de mes pagesr à votre curiosité abondante. Vous pouvez donc me faire savoir ce que vous avez envie de connaître, notamment sur le Japon.
J'attends votre courrier électronique.





Deuxième essai .......... le 20 juillet 1997
[RAFFOLER DE GRANDE BOUFFE]
Un article ayant trait à "un gourmet boom au Japon" est paru à la une du Monde en date du 19 juillet 1997. Il pouvait permet aux lecteurs, même aux japonais, de redécouvrir un visage de la société d'ultra-consommation par la passion de manger. Les japonais, pêut-être les Japonaises, ils s'attachés tous à chercher une bonne chère, et cette tendance règne impeccablement sur des émissions de télévision, même sur un certain nombre de films.

L'Ultra-consommation, pourquoi? Parce que d'un côté, les habitants sur l'Archipel "avalent" des cuisines étrangères au nom de la société mondialisées, voire occidentalisées, et de l'autre elles en dévorent des suggestions que les médias proposent. Nous nous trouvons souvent dans un boom quel que ce soit. J'estime que sur les deux points suivants, reviendrait la raison de ce phénomène émergeant vingh fois depuis une trentaine d'années.

Lisez des phrases suivantes que j'ai envoyées par l'internet comme mon opinion pour Le Monde;

< J'apprécie votre compréhension complète sur une partie de la société japonaise. Je ne peux pas contester votre description fidèle du sujet traité. Vous avez utilisé un mot "boom", qui se disait à plusieurs reprises au début de ce boom. À l'époque où nous avons entamé un culte des cuisines gastronomiques, notamment qui étaient venues des pays étrangers, toutes les personnes sensibles à la mode s'étaient ruées au restaurant bien raffiné. C'était vraiment un "boom". Mais maintenant ce fameux boom devient "une loi". Si vous vous intéressez à un point de vue d'un veritable Japonais sur la mode à la japonaise, lisez ce qui suit.

La mentalité japonaise incite toujours à faire la même chose que les autres font. Ceux qui se comportaient différemment dans la société insulaire, ont été marginalisés dans le temps. On est même de nos jours obligé de accepter l'uniformité dès l'école primaire, et cette tendance se voie également dans de grandes entreprises. Néanmoins, il me semble que depuis quelques années, elle est en train de disparaître vers le 21e siècle, tout en tenant compte de l'individualisme à l'Occidentale, à savoir qu'un citoyen serait enfin né au Japon. Ce n'est rien de moins qu'un développement du cerveau au sein des habitants insulaires.

Marlgré ce changement au courant, une volonté d'avoir une ressemblance avec d'autres occupe, tout à mon avis, encore la plus grande partie de société japonaise, et par cette hypothèse, le sujet de la mode s'expliquerait nettement.

Pour nous, surtout les jeunes, une mode est la règle à obéir à tout prix. On considère qu'être au courant de la mode permet de nous faire remarquer. Au fur et à mesure qu'une mode est répandue - on appelle ce moment "le boom" - plus de gens deviennent une personne à la mode. Important, c'est ce moment transitoire. Je constate que durant ce boom ceux qui ne se sont pas encore approchés d'une mode au courant se sentent marginalisés de groupe d'amis, ou même de la société nippone. Je crois que la plus grande partie des Japonais ont le même sentiment comme cela, s'ils se trouvent dans cette situation. Il n'y a pas de moyen rebelle à cette obligation mentale, si bien qu'on doit suivre ou accepter une nouvelle mode. Finalement, une mode se transforme en loi.

D'où, il faut toujours que nous regardions la télévision, ou lisions des livres et des magazines afin d'apprendre la nouvelle mode, tout en ignorant que ces medias en créent en partie...... Je pense que c'est toujours un tel media, comme la télé, qui sont à l'origin de mode, et un sujet de gastronomie a réussirait plus que jamais, en marchant avec un intérêt potentiel des jeunes. Il est donc certain que des chaînes télévisées gagneraient plus de taux d'audience à mesure qu'elles multiplient la passion de grands bouffes. On aurait le droit d'appeler la télé "La Roi".

Ainsi, tous les Japonais sont-ils considérés comme fous d'un bon plat. Selon moi, si je observe ce grand phénomène à l'aide des informations provenant de journal hors du Japon, cet ensemble de passion n'semble qu'un composant de farce joué sur l'Archipel. Comment analysent cette tendance les spécialistes? On dirait au moins que les Japonais demeurent même aujourd'hui dans le régime monarchie de Mode.

Je ne sais plus si les Français et les Françaises ont une telle impression assez étrange. En apparence, au moins les français ne la connaîent jamais. Et, il faudrait remarquer qu'au Japon, les jeunes sont touchés par le désir effréné d'un goût formidable. Je suppose que ce phénomène soit incroyable pour les Français.>



Premier essai .......... le 27 juin 1997
[CYBER-CITOYEN]
Avant que je me mette à rediger un essai, permettez-moi de décrire de petits hésitations qui m'est passé par la tête. Que faut-il écrire en français? Les renseignements rudimentaires soit relatives au Japon, soit concernant la France?

Étant donné que les premières ne peuvent attirer l'attention des japonais, et à l'inverse non plus, il semble qu'un choix du sujet soit assez délicat, à tel point que je suis nerveux.

Je peux raconter à la fois les conportements des japonais ,des français et des françaises, ce qui permettrait de vous faire plaisir et de vous satisfaire, quelle nationalité que vous auriez. Pour cela, il vaux mieux m'adresser aux gens regardant mes pages, par le biais de cette grande invention du siècle, qui devient, au fil des années, populaire ici en France(mais il faudrait attendre 3 ans de telle sorte qu'un niveau de technique ayant trait aux contenus du WEB atteigne celui des États-unis......Peu importe!).

Ah Voilà! Pour démarrer cette partie, je raconte un brin la société japonaise d'aujourd'hui en tenant compte de la nouvelle technologie.

En ce qui concerne des appareils apportés à un certain nombre de pays ces derniéres années, du téléphone à la maison au téléphone portable, du mini-chaîne au balladeur, de l'appareil de calculateur à l'ordinateur, du Minitel à l'internet et je n'oublie jamais le TAMAGOTTI, les gens de Nippon semblent domminés par ces nouvelles technologies, bon gré mal gré sans s'en apercevoir. Quant aux Françaises et aux Français, selon moi, ils essaient bien de se rebeller contre un envahissement d'envergure de super-technologie par rapport aux Japonais.

Exemple; le chiffre des ventes du téléphone portable au pays du Soleil levant s'élève aujourd'hui à près de 50 millions. Incroyable, non? Un japonais(ou une japonaise) sur deux d'environs en dispose d'un! Ah, on est tout le grand consommateur de l'onde électrique! Énormément de gens, soit au restaurant, soit dans la rue, soit au cours(!) tiennent ce fameux trésor comme s'ils(elles) serraient la main avec leur petit(e) ami(e).

Est-ce qu'il est vraiment nécessaire de persister à chercher sans cesse la nouveauté? Il est incontestable que le téléphone portable, par exemple, est tellement pratique que l'on risque d'oublier l'appareil "traditionnel" se trouvant à la maison. Je n'exagère pas du tout!

À ce point, il faut que je réfléchisse encore. Ce que je peux dire pour le moment, c'est que l'on sait qu'on peut se passer de ce fameux matériel, parfois même propice à notre vie. Ceux qui aspirent à posséder une petite machine "magnifique" ne sont qu'un peu plus curieux que d'autrui. Dès la naissance, nous cherchons tous la nouveauté autour de nous-même, et avec ces comportements nous apprenons la langue, la risque, le gôut, etc...Cependant, cela ne dure évidemment pas longtemps, où que ce soit dans le monde entier. À peine devient-on majeur que l'on sera encadré de la valeur ardue à briser. Et là, notre curiosité est bien laminée, ce qui est imposé par la société trop civilisée et industrialisée, où il est difficile de trouver des gens bien cultivés, à la place de ceux qui sont uniformes.

Bréf, les cyber-citoyens qu'on voit dans un pays attaché encore aujourd'hui à la plus grande puissance du monde en matière d'economie, eux, essaient de s'opposer à la société diabolique en faisant émergeant leur désir effréné de soi, à savoir celui de curiosité bien fermée depuis leur adolescence. La possession de la nouveauté est un seul moyen de résistance!

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